Soutien Scolaire, Lycée Fenelon Lille
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 fiches de révision

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Sébastien Hoët




Messages : 5
Date d'inscription : 18/03/2010

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MessageSujet: fiches de révision   fiches de révision Icon_minitimeJeu 27 Mai - 21:38

I) Le mot et la chose : un « rapport » d’exclusion ?

A) Le Bavardage – la sophistique



• La Politique . Aristote : H = zoon ekhov logov. Animal pol destiné à vivre en Sté (sinon : ê dégradé. ≠ Sté = ≠ H !)

• Nature pol articulée par fait que H= doué de parole ; Animaux : voix (plaisir, douleur). H = parole (> juste, injuste et valeurs qui en découlent)



• Acheminement vers la Parole. Heidegger : ns parlons mm ds rêve, m un muet peut ê bavard MAIS ≠ maîtrise

Sein und Zeit : ≠ rapport de connaissance au sujet, ce qui compte = Parler. ≠ rapport de savoir à la chose. Imp = le mot. Force de l’opinion

• abs de fondement : l’esprit tourne en circuit fermé, on parle nn pas pr dire ou exprimer



• R. Jakobson, linguiste XXè : fonction phatique du langage > pr ê connecté avc Autrui.

Ø ≠ bavardage : ≠ relation poss à autrui

• bavardage : danger car force de l’opinion vs vérité cf sophistes : art du simulacre, ne demande pas de connaissance de choses dt il est parlé
• Image jms à la hauteur de l’original cf Lit 3. Dangereux pr exercice vertu et vie ens. de singer la vérité, de promouvoir ressemblance



B) Le mot et sa partialité



• Phénoménologie de l’esprit. Hegel XIXè : mot partial. Ne retient qu’une partie, vérité partielle

• « ce morceau de papier » = indicible. Mots ≠ expriment singularité, mots généraux.

• Mots ≠ adaptés à singularité (alors qu’essayons de dire ~, vers universel, concept (universellement vrai) dc vers connaissance selon Hegel

• Il y a de l’indicible mais ≠ importance car unique, singulier → nn vrai, contingent.

Ø « une chose singulière » : universel car tt est singulier



• Le Rire. Bergson. Hgl : force du langage = tourné vers l’universel. Chez B, mot péj utilisé, « genre » / « généralité »

• tte perception est structurée pr, langage (chaise : poss de m’asseoir). Percevons choses à travers catégories du langage.

• langage crée par besoin dc trace de réduction de la chose à son utilité = normale.

• langage : porte au jour le – intéressant/unique → cette réduction se retourne contre ns

Ø cse : flux immatériel or langage tourné vers matière et action

• Langage commun, utilitaire : cmt expr singularité ? chacun de ns = univoque, langage ne peut dire de ns que cequi est générique, ce qui ds notre sentiment est le + figé, le + ext/ convent.

• « l’inividualité ns échappe » : qd retour sur soi, disons ce qui est de ns semblable à ts les autres !

• ns vivons ds généralité : M fermé sur des symboles (eth : partage), pas de percée vers l’inouï

• vivons ds zone mitoyenne à ns, ds interrègne (≠ place ds univers, cf 2 infinis, pascal) > ns ne vivons ni parmi les choses (utilité, besoin) ni parmi ns mm (individualité tue). Propre esprit de l’H = + étranger que M matériel en face de ns !


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• poésie : mot devient « transparent » à choses qu’il nomme = « préverbal »

• poésie : laisse au mot son ambiguïté, richesse, laisse passer choses de la réalité, multiplicité d’interprétation poss

Ø ex : La Terre est bleue comme une orange, Eluard

• Poésie : ≠ communication d’une info qui est visée. On veut faire résonner le mot, on l’ouvre à ttes ses idées en mm temps (+ on utilise le mot et ses sons : allitérations…)

• résonance du mot : permet d’entendre réalité telle qu’elle est avant que je ne l’enferme dans des mots.

• au jour le jour : langage = moyen de communication

≠ poète, dans ce cas ns sommes dans ≈ posture de domination par rapport au langage



• Acheminement vers la Parole Heidegger

• poème ≠ activité de la L exceptionnelle. ~ = la parole, parlé à l’état pur.

• la parole ≠ sert à manifester au dehors ce que ns avons à l’esprit. Ds la parole ce n’est pas l’H qui agit, qui est 1er : « la parole est parlante », « ce n’est pas une activité de l’Homme »

• Nous naissons au langage de telle manière que la langue se parle déjà avant que nous n’arrivions.

• Comment l’H vient au L ? > ns ns accordons juste à cette parole qui se parle.

• H ≠ producteur de parole. C’est elle qui le précède, ns devenons H par la parole (cf enfants sauvages). H second. P fait l’H et nn l’inverse

• bavardage quotidien de l’H = poème « épuisé ». L’H ne parle pas, ne fait que répondre à la parole.

• Hdgg : poème = + qu’un ens de vers, tte une dimension d’habiter de l’ê H, façon d’ê au M

→ cette habitation ne relève pas du rêve. Au contraire ds l’habitation poétique véritable enracinement dans la T (poème Friedrich Hölderlin : « poétiquement l’H habite sur T »)



• Article Gelassenheit, (sérénité)

• 2 modes de pensées :

Ø pensée technique/calculante, se pose quest de l’utilité. Omniprésente retrouvée ajd ds transformation nature, pensée obsédée par mesure, planification, ustensilité ; Ajd nature plus appréhendée de mm façon qu’au tps des Grecs (où N = « physis, ce qui vient à ê ,selon H ce qui croît.) Physis : gratuité, générosité ds ce mot ≠ ajd, N = réservoir d’énergie (pensée technique)

Ø pensée méditative. Ne cherche pas utilité, cherche sens de ce qui est. Poésie pr Hdgg = mode de cette pensée

• Pb de la pensée techn : devient hégémonique, peut se retourner contre l’H (considérer l’H comme matériel H ck Nazis, Stück, matériel)

• Il ne faut pas aller contre pensée techn (qui ne se résume pas à techno = ens instr techn, qui n’est pas le pb !) car ce serait faire son jeu

• Dc : il faut profiter des instr qu’elle nous donne + user pensée méditative, totalement libérée de tt ce qui est calcul, utilité



• Hdgg : ≠ aime linguistique car conception techn du langage. Négation de l’essence mm du langage







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• langues du Nord : + tardives, apparue ds pays froids. Naissent Portent empreinte besoin, L d’H qui s’aident, commercent, raisonnent, s’irritent

• Cf Cratyle. Pr Rousseau, langue porte empreinte de ce qu’elle exprime, varie selon climats et besoins de l’H. Lien entre mot et ce qu’il a à dire.



C) L’arbitraire du signe : quelques éléments de linguistique



• Cours de linguistique générale 1916 F. de Saussure (linguiste mort 1913)

• LANGAGE : faculté de produire des signes

• LANGUE : produit social de cette faculté ; le + imp des ens. de signes. Ens. de conventions adoptées par le corps social. Complète chez aucun individu, existe ds tot de la masse. ≠ fonction du sujet parlant, ext à d’individu. = partie sociale du langage.

• PAROLE : fonction individuelle, ens de combinaisons par laquelle le sujet parlant utilise code de la langue pr exprimer pensée. H peut conserver sa langue alors que privé de parole



• Langue : contrat passé entre mb communauté. Pas de rapp nécessaire à ce qu’elle nomme > nécessite apprentissage, artificielle.

• Langue nécessaire pr que parole soit compréhensible, parole nécessaire pr que langue soit

• Saussure : la parole précède la langue qui est à la fois instrument et produit de la parole



• Lieu commun : écriture ralentit chgmts langue car la fixe. MAIS qd langue n’a pas d’écriture, peut ne pas évoluer cf lithuanien du déb XX connu par écrit depuis 1540 seulement, iage aussi fidèle que latin IIIe siècle avt JC de l’indo-européen. Tradition orale peut donner fixité

• Trop de prestige écriture : mots écriture = image graphique, idée de solidité

- impression que langue reste elle-m

- mémoire davantage visuelle chez plup individus

- littérature > prestige

• Désaccord langue/orthographe. C’est tjrs écriture qui prend le dessus, linguiste ≠ tranche

• Ecriture travestit langue, peut la rendre fautive

- mots où aucun des sons n’a de signe propre : oiseau

- erreurs : Lefèvre de faber > soi Lefèvre/Lefebvre/Lefébure



• Signe : signifiant (image acoustique = son + son empreinte psychique > phonème)

signifié = concept, idée à travers laquelle on vise le référent. ex de soeur

référent = ma sœur Inès en tant que personne elle-m

• Lien signifiant/signifié = arbitraire, « sœur » ne ressemble pas à l’idée de sœur

• Signe ≠ symbole qui ressemble à ce qu’il symbolise (ex balance/justice)

• onomatopées « fouet » de fagus, hêtre, tic tac, glouglou… MAIS ≠t selon langue dc arbitraire

• Exclamations (aïe…). Signifiant arbitraire. NB : signifiant s’impose à ns , masse soc ≠ consult



•Dc origine du langage = oiseuse, subissons cette règle

•acte par lequel nom donné aux choses p-ê conçu intelletuellemnt mais jms ns ne pourrons le constater car cet acte est tjrs déjà là



• Mot arbitraire mais ≠ poss de discuter d’un chgmt de langue, chaque langue dotée d’une multitude de signe + inertie de la masse face au chgmt linguistique + aucun autre ens de signe aussi répandu.

- langue se transforme sans que sujets puisse la transformer, autonomie
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